Un chef, Un beau gosse, Jon.

Je me baladais dans ce quartier mis en Quarantaine, ce quartier rempli de terreur et de... souffrance. J'allais voir mon voisin d'en face, sa femme était gravement malade, je me m'étais à sa place, qu'aurai-je fais si ma douce était aussi dans cette situation ? Nous avons déjà été importer telle des packs de légumes dans ce quartier car nous avons été confronté aux virus. Mon employeur m'a renié comme un mal propre, alors que tout cela est de sa faute. Ouaip, j'étais garde du corps privée de McPherson. Mais, évidemment, lorsque je suis chez mon voisin, ce sont des coups de feux qui attirent mon attention. J'attrape mon gun que j'avais toujours sur moi jusqu'ici. Des militaires étaient dans chaque maison, tuant plusieurs personnes.

C'est arrivant chez moi que je vois deux soldats, et ma femme et ma fille sur sol baignant dans une flaque rouge. Pris de rage, je leur mets des coups de gun dans le visage. Je reconnais l'un de mes collègues qui me collent contre le mur, me criant qu'elles étaient contaminées, ce que je niais. Ils les ont tué. C'était tout ce qu'il y avait à savoir. J'en pousse un pour attraper mon arme et tire sur le second dans la tête, alors que mon collègue me mets sur le sol. Il m'a assommé, de manière élégante avant de ne pas me tuer non plus.

Quand je me suis réveillé, j'étais sur mon lit. Rapidement, tout me revient en tête, je descend rapidos les escaliers, il ne restait plus que les tâches de sang sur le sol. Je tombe à genoux et crie un bon coup. Je remonte et cherche mes armes. Ma plus grande frayeur ? Qu'il m'ait pris mon arbalète également. Je soulève une plaque de mon plancher. Cette arbalète est mon cadeau pour mes trente ans de la part de mon père. Je chassais avec lui dans ma jeunesse,
avec mon frère aussi. Mais, les autorités mon séparés de mon aînés quand des quartiers ont été mis en quarantaine. Pris d'un acte de rage. Je sors de chez moi, on étui à flèche dans le dos, mon arbalète sur mon épaule, ils m'ont enlevé ma famille, famille qui n'avait pas été touché par le virus, elles avaient ni fièvre ni aucun autre symptôme. Les soldats avait juste une machine détectant le virus, mais qu'est ce qu'il me disait que cette machine merdique n'était pas défectueuse.   Je me rend chez mon voisin lui demandant de réunir tout le monde,
du quartier. Ce qu'il fait.

Devant eux tous, me tenant debout sur le toit d'une voiture, je leur parle, je parle à ses âmes en peines.

"Aujourd'hui, nous avons tous perdus des personnes chères. Que ce soit avant qu'on soit mis en quarantaine, ou après. Ils se permettent d'éliminer des gens sans symptômes, tout cela parce que leur fichu machine leur dit. Je dis que cela suffit ! Je dis que nous devons nous imposer, nous défendre, nous et l'honneur de nos proches à présent décédés mais aussi de ceux encore vivant."

C'est ainsi qu'une conseillère du maire fait son apparition dans la foule.

"Tu ne sais pas ce que tu dis Jon. Tu viens de perdre beaucoup trop pour parler de manière sensée."

"Et toi tu défend tes compères, quoi de plus banal ? Nous avons beaucoup perdu, mais à cause de qui ? A cause de McPherson et de son gouvernement à la con !"

Des acclamations se font ressentir.
Des demandes de la tuer aussi. Je voyais son mal être dans son regard. Je fronce les sourcils.


"LE SANG PAR LE SANG !"

Je trouvais que cette phrase sonnait bien. Je l'ai fait monter sur la voiture. J'avais un regard inexpressif. Et je lui ai autorisé la parole.

"Nous devons réfléchir. Nous sommes des humains, pas des animaux."

"McPherson a pas réfléchi quand il a lancé la guerre.

Les bras croisés sur ma poitrine je fais signe à la population du quartier de la laisser finir.

"Nous faisons tous des erreurs et..."

"Surtout vous !"

Je souris en coin.

"Difficile de parler à une foule en colère, hein ? Allez, descendez."

L’événement s'est fini avec mon acceptation par le foule comme chef. J'ai exécuté cette effrontée une flèche dans le crâne. J'ai ordonné des renforcements métalliques sur les grilles autour du quartier. Et nous criions haut et fort, à la fin des politiciens. Nous ne sommes pas forcément, méchant, nous accueillons des personnes, qui accepte notre politique, ils trouvent une place parmi nous. Nous, ceux qui restons, sommes immunisés par le virus, du moins pour l'instant. Quand il y a un soucis c'est moi qu'on vient voir, moi ou mon bras droit, un bout de femme plutôt remarquable, qui était une jeune amie de ma femme, bien qu'aujourd'hui ce soit mon amie, et peut-être plus.

Gutentag, ami du swag!     Moi, c'est Sarah mais sur le net, tu me connais plus comme Bus ou Bubus. J'ai 17 ans ans, et ce que je préfère faire c'est rp   . J'ai lu le règlement, la preuve, j'en ai le code: c'est ok pour roro . J'ai connu le forum grâce à Facebook et je le trouve folichon tout comme ma collègue     !